Culture – Artici.info| La référence en matière d'infos https://artici.info Wed, 26 Jun 2024 23:57:35 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.6.1 https://artici.info/wp-content/uploads/2023/10/cropped-fav-32x32.png Culture – Artici.info| La référence en matière d'infos https://artici.info 32 32 Côte d’Ivoire : Michael Jackson demenage définitivement à Krindjabo dès décembre 2024 https://artici.info/cote-divoire-michael-jackson-demenage-definitivement-a-krindjabo-des-decembre-2024/ Wed, 26 Jun 2024 23:54:27 +0000 https://artici.info/?p=1227   Abidjan le 26 juin 2024 – Une statue à l’effigie de la Star. Un musée devant abriter les œuvres et des biens de l’artiste. Voilà les projets qui vont être réalisés à Krindjabo sur la terre de des ancêtres de Michael Jackson afin que son âme puisse reposer auprès de ceux-ci. La pose de […]]]>

 

Abidjan le 26 juin 2024 – Une statue à l’effigie de la Star. Un musée devant abriter les œuvres et des biens de l’artiste. Voilà les projets qui vont être réalisés à Krindjabo sur la terre de des ancêtres de Michael Jackson afin que son âme puisse reposer auprès de ceux-ci. La pose de la première pierre du statue à l’effigie du Roi de la Pop music a été faite le mardi 25 juin, jour anniversaire de son décès, dans le royaume Sanwi en présence des autorités royales.

« Ce qui nous amène ici en Côte d’Ivoire, c’est que nous avons décidé de proposer une statue à l’effigie de la Star », a déclaré Marcel Kouamenan, président de la fondation Jackson Family Group.

Il s’agit, selon Marcel Kouamenan, de réaliser les projets de l’artiste qui n’ont pu voir le jour avant sa disparition inattendue.

« En 1992, Michael a créé une fondation dont j’assure la présidence en ce moment. Il s’agit donc d’activer et de continuer la mise en œuvre des projets qu’il avait souhaité réaliser mais que malheureusement sa mort le 25 juin 2009 n’a pas permis de les réaliser, a regretté le président de la fondation Jackson Family Group dont l’objectif est de tout mettre en œuvre pour réaliser les vœux chers à l’artiste.

« L’idée est d’inscrire les projets qui lui tenaient à cœur avant son décès dans priorités de la fondation. Ce qui m’a beaucoup marqué, c’est le fait que Krindjabo soit inscrit au nombre de ses désirs ardents et objectif qu’il n’a pas pu réaliser avant son décès », a expliqué Marcel Kouamenan non sans reconnaître que  »porter la charge et la vision de Michael Jackson sont une activité énorme ».

Pour atteindre ses objectifs et immortaliser les actions de l’artiste, la fondation a recours à Wang Jackson, le sosie officiel du Roi de la Pop music pour l’accompagner dans ses activités.

« Il y a un sosie qui danse exactement comme Michael Jackson, qui a le visage et les traits de caractère de Michael. Il se nomme Wang Jackson. Il est chinois. Nous avons voulu être en Côte d’Ivoire avec lui pour la pose de cette première pierre qui marque le début de réalisation des travaux du statue de Michael Jackson », a souligné monsieur Kouamenan.

L’inauguration de la statue prévue pour le mois de décembre 2025, annonce le président de la fondation Jackson Family Group, se fera en présence des frères de Michael Jackson qui effectueront le déplacement de la Côte d’Ivoire.

Un dîner gala, un vernissages, des échanges avec les populations meubleront la cérémonie.

JEN

]]>
Côte d’Ivoire : décédé en 2009 aux USA, Michael Jackson réapparaît à Krindjabo sur la terre de ses ancêtres https://artici.info/cote-divoire-decede-2009-aux-usa-michael-jackson-reapparait-a-krindjabo-sur-la-terre-de-ses-ancetres/ Sun, 23 Jun 2024 17:24:50 +0000 https://artici.info/?p=1215   Abidjan le 23 juin 2024 – Déclaré sosie officiel de la star américaine Michael Jackson, le « Roi de la Pop », après son décès le 25 juin 2009, Jackson Wang, d’origine chinoise est arrivé dans la nuit du vendredi 21 au samedi 22 juin à Abidjan. Un séjour qui conduira le sosie du « Roi de […]]]>

 

Abidjan le 23 juin 2024 – Déclaré sosie officiel de la star américaine Michael Jackson, le « Roi de la Pop », après son décès le 25 juin 2009, Jackson Wang, d’origine chinoise est arrivé dans la nuit du vendredi 21 au samedi 22 juin à Abidjan. Un séjour qui conduira le sosie du « Roi de la Pop music » à Krindjabo, la terre de ses ancêtres.

Un voyage organisé par le Révérend pasteur Marcel Kouamenan à qui est désormais confié la perpétuation des actions de la Méga star américaine à travers la fondation caritative « Jackson Legacy ».

Et c’est pour poursuivre cette œuvre que le révérend pasteur Marcel Kouamenan mène depuis quelques années des démarches à Krindjabo en vue d’immortaliser le « Roi de la Pop music » dans le Royaume Sanwi.

Un monument de 6 mètres de hauteur de l’artiste y sera érigé.

En effet, après des tests ADN qui lui ont révélé ses origines africaines, notamment ivoiriennes, Michael Jackson est arrivée pour la première fois en Côte d’Ivoire en 1992 et s’est rendu sur la terre de ses ancêtres à Krindjabo, dans le sud-comoé. Il a alors reçu les honneurs du royaume Sanwi et fait prince du Royaume.

Avant donc la pose de la première pierre de ce monument prévue pour le mardi 25 juin, Marcel Kouamenan a conduit une délégation chez le Président du Conseil économique, social, environnemental et culturel, le Dr Eugène Aka Aouélé, également président du Conseil régional du Sud-Comoé, samedi 22 juin 2024 pour l’informer et obtenir la permission nécessaire, comme l’exige la tradition.

Michael Jackson a commencé sa carrière comme enfant prodige avec son groupe familial, « les Jackson 5 ». Il a connu un succès solo sans précédent dans les années 1980 avec des albums comme « Thriller », « Bad », et « Dangerous », célèbres pour leurs clips musicaux novateurs et leurs performances iconiques.

L’influence de Jackson sur la musique, la danse, la mode ainsi que sa vie personnelle complexe ont fait de lui, l’une des figures culturelles les plus marquantes du XXe siècle.

JEN

]]>
Côte d’Ivoire : la PNCI partage son expérience du digital avec la jeunesse ouest africaine à Accra https://artici.info/cote-divoire-la-pnci-partage-son-experience-du-digital-avec-la-jeunesse-ouest-africaine-a-accra/ Mon, 10 Jun 2024 18:36:40 +0000 https://artici.info/?p=1168   Abidjan le 10 juin 2024 – Organisé par la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) du 5 au 6 juin à Accra, Ghana, le sommet de la jeunesse 2024 a enregistré la participation de la Plate-forme de la Presse Numérique de Côte d’Ivoire (PNCI). Ce rendez-vous de renommé internationale a réuni […]]]>

 

Abidjan le 10 juin 2024 – Organisé par la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) du 5 au 6 juin à Accra, Ghana, le sommet de la jeunesse 2024 a enregistré la participation de la Plate-forme de la Presse Numérique de Côte d’Ivoire (PNCI).

Ce rendez-vous de renommé internationale a réuni des jeunes leaders, des organisations engagées et des partenaires clés autour de la problématique cruciale de l’innovation numérique et son impact sur la jeunesse et le développement régional.

Invité à ces assises, la présence de la PNCI à ce sommet est le témoigne de son dynamisme et de son engagement en faveur de l’autonomisation des jeunes, de la promotion de l’entrepreneuriat et de l’innovation en Afrique de l’Ouest.

En tant que faîtière incubatrice, l’opportunité a été donnée à son président Joël Nianzou de partager son expertise et les initiatives de la PNCI en matière de promotion de l’entrepreneuriat jeune, de formation et de développement des compétences, ainsi que de promotion de l’innovation digitale.

« Nous tenons à exprimer notre profonde gratitude à la CEDEAO et à tous les partenaires impliqués dans l’organisation de cet événement inspirant : le Réseau ouest-africain pour la consolidation de la paix (WANEP), l’USAID, la DANIDA et le Bureau des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel (UNOWAS). Nous saluons également l’engagement des jeunes participants et des intervenants pour leur contribution dynamique aux discussions et aux échanges visant à façonner un avenir meilleur pour notre région », a déclaré Joël Nianzou au terme de ces deux jours d’échanges fructueux dans la capitale Ghanéenne avant plaider pour un environnement propice pour favoriser les initiatives de jeunes.

« La PNCI reste déterminée à poursuivre son travail en faveur de la jeunesse et du développement de l’Afrique de l’Ouest. Nous sommes convaincus que seuls des partenariats solides et une collaboration continue seront essentiels pour créer un environnement propice à l’épanouissement et à la réussite des jeunes entrepreneurs et innovateurs de la région », a-t-il conclu.

JEN avec sercom PNCI

]]>
Côte d’Ivoire : Tera Sidi succède à Touré Yousouf à la tête de la CNDP-CI au terme de son 4e congrès ordinaire https://artici.info/cote-divoire-tera-sidi-succede-a-toure-yousouf-a-la-tete-de-la-cndp-ci-au-terme-de-son-4e-congres-ordinaire/ Mon, 10 Jun 2024 09:24:21 +0000 https://artici.info/?p=1165 Abidjan le 10 juin 2024 – Depuis ce samedi 8 juin 2024 Touré Yousouf n’est plus le président de la Conférence des Directeurs de Publication de Côte d’Ivoire (CNDP-CI). Il a passé la main à Tera Sidi Asseye, plébiscité par les congressistes. Il a obtenu 100% des voix au terme du 4e congrès de l’organisation […]]]>

Abidjan le 10 juin 2024 – Depuis ce samedi 8 juin 2024 Touré Yousouf n’est plus le président de la Conférence des Directeurs de Publication de Côte d’Ivoire (CNDP-CI). Il a passé la main à Tera Sidi Asseye, plébiscité par les congressistes. Il a obtenu 100% des voix au terme du 4e congrès de l’organisation qui s’est tenu les 8 et 9 juin dans la première capitale de Côte d’Ivoire : Grand-Bassam.

« Je viens mettre mes qualités et compétences au service de la CNDP-CI avec le soutien et la participation de tous. Je serai un simple exécutant », a déclaré le nouveau président juste après son plébiscite.

Le 4è congrès ordinaire de la Conférence Nationale des Directeurs de Publication (CNDP-CI)

Placé sous le haut patronage de la présidente du Sénat, Madame Kandia Camara, sous la présidence du ministre de la Communication, M. Amadou Coulibaly et le parrainage du ministre de la santé, M. Pierre Dimba le 4e congrès ordinaire et électif de la Conférence des Directeurs de Publication de Côte d’Ivoire qui sonnait l’espoir d’un renouveau ne s’est pas écarté de cet objectif.

Le conseiller municipal, Sidibé Mamadou représentant le maire de Grand-Bassam Jean-Louis Moulot, avant de remettre les clés de sa cité à ses hôtes, a traduit la satisfaction du premier magistrat de la commune non seulement pour le choix porté sur sa cité mais surtout de la grande conscience qu’ont les directeurs de publication dans la grande responsabilité qui est la leur dans les publications et invité les congressistes à consolider l’esprit de cohésion qui favorise ce cadre permanent de concertation.

Représentant le ministre de la Santé et d’hygiène publique, parrain de 4e congrès, Dr Bernad Ehui, conseiller technique du ministre Pierre Dimba a salué les congressistes et traduit la gratitude du ministre Pierre Dimba qui, selon lui, s’honore d’avoir placé ce 4è congrès dont le thème est : « du code d’éthique et de déontologie du journaliste professionnel, au code d’honneur des directeurs de publication : quels perspectives », sous son parrainage. Cela dénote, relève Dr Ehui, de la prise de conscience et de la quête permanente des journalistes d’assainir leur corporation pour un mieux-être des acteurs.

Le congrès a adopté deux résolutions ; l’institution d’un poste de président honoraire et l’élargissement du nombre des membres du Conseil d’Administration qui passe de trois (3) à six (6) et invité le nouveau président à convoquer un congrès extraordinaire afin de rendre ces résolutions conformes aux textes de l’organisation.

Ont alors été élue président du Conseil d’Administration et commissaires aux comptes de la CNDP-CI pour les 5 anas à venir les listes respectivement conduites par Touré Youssouf et Brou Wilson commissaire aux comptes.

Au conseil d’Administration Touré Youssouf est secondé par Patrice Guéhi, deuxième vice-président Hervé Porquet, troisième vice-président, Narcisse Boli et membres Opportune Bath et Barthélemy Téhin

Au commissariat aux comptes, Brou Wilson est secondé par Fafana Zoumana

JEN

]]>
Côte d’Ivoire – Entretien avec le Président des Eglises CESA-CI / PASTEUR Diomandé Mamadou : « Le jour de l’effusion du saint esprit marque la naissance de l’Eglise » https://artici.info/cote-divoire-entretien-avec-le-president-des-eglises-cesa-ci-pasteur-diomande-mamadou-le-jour-de-leffusion-du-saint-esprit-marque-la-naissance-de-leglise/ Wed, 05 Jun 2024 10:05:32 +0000 https://artici.info/?p=1136 Côte d’Ivoire – Entretien ave Primé en 2022, meilleur pasteur de Côte d’Ivoire, Diomandé Mamadou explique ici dans ce bref entretien ce qu’est la pentecôte.     Qu’est-ce que la pentecôte ?  La pentecôte est une fête de moisson, une fête de reconnaissance à Dieu par rapport à la production qu’il a donné aux Israélites qui […]]]>

Côte d’Ivoire – Entretien ave

Primé en 2022, meilleur pasteur de Côte d’Ivoire, Diomandé Mamadou explique ici dans ce bref entretien ce qu’est la pentecôte.  

 

Qu’est-ce que la pentecôte ? 

La pentecôte est une fête de moisson, une fête de reconnaissance à Dieu par rapport à la production qu’il a donné aux Israélites qui travaillaient la terre. Ce qui s’est passé le jour de la pentecôte par rapport au saint esprit est appelé effusion du saint esprit. Il fallait ce jour-là, c’est le 50ème jour après la pâque et le 10ème jours après l’ascension du Christ. Dieu a choisi ce jour d’effusion du saint esprit pour la naissance de l’église, promit par Jésus. L’église est le 6ème et l’avant dernier dispensation de Dieu.

 

Que représente la pentecôte pour le chrétien ? 

Pour le chrétien la pentecôte représente la naissance de l’église et la plénitude du Saint Esprit dans la vie du croyant.

 

Que doit faire un chrétien le jour de la pentecôte ? 

Le jour de la pentecôte le chrétien doit se rappeler que l’église à vu le jour ce jour, et que lui en tant que chrétien doit être inspirer à être remplir du Saint esprit pour être efficace pour l’œuvre de Dieu. Il est bon de souligner que l’Eglise Evangélique CESA à plus d’une trentaine de représentations à l’intérieur du pays.

Kouamé Blanchard

]]>
Obsèques du président Bédié : le véto de l’allié Bron qui a failli tout bloquer  https://artici.info/obseques-du-president-bedie-le-veto-de-lallie-bron-qui-a-failli-tout-bloquer/ Thu, 30 May 2024 15:53:57 +0000 https://artici.info/?p=1109   Abidjan le 30 mai 2024 – Venus, non pas, pour prendre leur part du deuil qui frappe l’allié Baoulé de Pepressou dont le chef est déclaré admis en soins intensifs, les Brons du zanzan, donnant les raisons de leur présence à Pepressou, avancent qu’ils sont là avec le remède pour soulager le président Bédié […]]]>

 

Abidjan le 30 mai 2024 – Venus, non pas, pour prendre leur part du deuil qui frappe l’allié Baoulé de Pepressou dont le chef est déclaré admis en soins intensifs, les Brons du zanzan, donnant les raisons de leur présence à Pepressou, avancent qu’ils sont là avec le remède pour soulager le président Bédié du mal qui le ronge depuis plus de 10 mois.

Mais déplore et regrette la délégation de NANAN Adjoumani, roi des Brons qui apprend sur la place publique que la rencontre du jour porte sur l’organisation des obsèques du président Bédié.

« C’est sur place que vous nous annoncez le décès du président Henri Konan Bédié. Je me tiens là devant vous, au nom du royaume Bron et royaume Koulango pour dire que plus jamais ça ! Parce que vous ne devez pas répéter de telles choses. Nous sommes alliés vous le savez. Lorsque deux arbres poussent côte à côte au point que leurs racines s’entrelacent, mêmes morts, les racines restent entrelacées. Chers chefs, nous sommes venus avec la Reine-mère des peuples de CEDEAO de Côte d’Ivoire. Elle est issue du Zanzan et elle est Bron. Nous allons aller la consulter pour voir si nous pouvons vous accorder des circonstances atténuantes », a regretté NANAN BIBI II, au nom de la délégation du Zanzan et du Boukani.

Après avoir levé son véto le peuple bron peut exécuter quelques pas de danse

Après consultation de la Reine-mère, le porte-parole de la délégation de nouveau annonce le véto de la Reine-mère.

« Nous sommes à nouveau là. Le président Bédié est un chef, moi également, je suis un grand chef. C’est pourquoi je tiens en main le micro. Vous savez, ce sont les oiseaux de même plumage qui volent ensemble. La Reine-mère dit que, pour conjurer le mauvais sort, qu’un billet de 1.000 FCFA des années 1960 soit trouvé pour qu’elle autorisé la poursuite de la cérémonie », a-t-il indiqué.

Mais tenant compte de la souffrance de la veuve qui depuis plus de 5 heures est assise dans la même position, la Reine-mère des Bron, sans être priée, s’est elle-même proposée de leur remettre un billet de 1.000 FCFA et a vite levé son véto.

« Si par ailleurs vous ne pouvez pas trouver le billet, comme elle est reine et mère du président Henri Konan Bédié, elle se fait fort de vous remettre ce billet pour que la cérémonie suive son cours », a ajouté NANAN Moroufié pour permettre la poursuite de la cérémonie.

JEN

 

]]>
Côte d’Ivoire : le regard inspirant de Émeline Amangoua sur une Côte d’Ivoire en pleine mutation paru chez Fratmat Édition  https://artici.info/cote-divoire-le-regard-inspirant-de-emeline-amangoua-sur-une-cote-divoire-en-pleine-mutation-paru-chez-fratmat-edition/ Mon, 20 May 2024 17:38:45 +0000 https://artici.info/?p=1099   Abidjan le 21 mai 2024 – « Regard sur une Côte d’Ivoire en pleine mutation « , une compilation de dossiers, de reportages et d’enquêtes publiés dans le quotidien gouvernemental Fraternité Matin de 2019 à 2023, ouvrage édité par Fratmat Édition sous la plume de Émeline Péhé Amangoua, journaliste au service économique de Fraternité Matin. Pour […]]]>

 

Abidjan le 21 mai 2024 – « Regard sur une Côte d’Ivoire en pleine mutation « , une compilation de dossiers, de reportages et d’enquêtes publiés dans le quotidien gouvernemental Fraternité Matin de 2019 à 2023, ouvrage édité par Fratmat Édition sous la plume de Émeline Péhé Amangoua, journaliste au service économique de Fraternité Matin.

Pour ce premier coup d’essai, elle est révélée au public par le Salon International du Livre d’Abidjan (SILA) qui s’est tenu du 16 au 18 mai 2024 sur le bord de la lagune Ebrié à Abidjan, la capitale économique de la Côte d’Ivoire.

L’ouvrage de 174 pages est la somme d’expérience de l’auteur dans la pratique du métier de journaliste mais aussi, la vision de l’Ebony presse écrite, distinction de la meilleure production presse écrite de l’année qu’elle a été, du développement économique et social de son pays.

« C’est pour partager mon expérience avec les plus jeunes qui ont décidé d’embrasser la carrière de journaliste », explique Emeline Amangoua plus que satisfaite de l’accueil fait par les visiteurs du SILA.

« Des artistes, des étudiants, des décideurs, des opérateurs économiques se sont procurés l’ouvrage », s’est-elle réjouie.

« Regard sur une Côte d’Ivoire en pleine mutation » retrace les changements opérés en matière de développement ces dernières années par la Côte d’Ivoire surtout dans les domaines des infrastructures routières, économiques, sanitaires, transport, ponts, échangeurs, autoroutes, hôtellerie et biens d’autres.

L’auteur Émeline Amangoua ne perd pas de vue la volonté manifeste des décideurs à opérer cette transformation du pays malgré les nombreux défis, tels que l’immigration, la commercialisation des médicaments contrefaits, la corruption, la prostitution, l’impact du Covid-19 sur le secteur privé auxquels ils ont été confronté et surmonté.

JEN

]]>
Côte d’Ivoire : les chrétiens catholiques d’Ahoué célèbrent l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem  https://artici.info/cote-divoire-les-chretiens-catholiques-dahoue-celebrent-lentree-triomphale-de-jesus-a-jerusalem/ Sun, 24 Mar 2024 11:08:54 +0000 https://artici.info/?p=988   « Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! Béni soit le Règne qui vient, celui de David, notre père. Hosanna au plus haut des cieux ! ». C’est par ce verset de l’Évangile tiré de Marc que les chrétiens catholiques du monde entier ont commémore l’entrée triomphale de Jésus […]]]>

 

« Hosanna !

Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur !

Béni soit le Règne qui vient,

celui de David, notre père.

Hosanna au plus haut des cieux ! ».

C’est par ce verset de l’Évangile tiré de Marc que les chrétiens catholiques du monde entier ont commémore l’entrée triomphale de Jésus Christ à Jérusalem ce dimanche 24 Mars, marquant le début de la semaine sainte avant Pâques, jour de la résurrection du Christ.

Ce sont des fidèles en liesse populaire, tenant Rameaux, chantant « Hosanna au plus haut des cieux » qui ont sillonné les rues des villes et quartiers parmi lesquels le village d’Ahoué dans la sous-préfecture de Brofodoumé.

Appuyés par la fanfare de l’église la chorale de enfants a assuré l’animation de cette célébration dans la joie la plus totale pour le bonheur des ahouéins qui donnent rendez-vous la nuit de la victoire du Seigneur sur la mort.

JEN

]]>
Facobly : Le festival Badjouhonan donne le sourire aux enfants de Tiény-Séably https://artici.info/facobly-le-festival-badjouhonan-donne-le-sourire-aux-enfants-de-tieny-seably/ Thu, 28 Dec 2023 20:59:44 +0000 https://artici.info/?p=573 Abidjan le 27 décembre 2023 – La 6e édition du festival culturel annuel « Badjouhonan » s’est ténue le 22 décembre 2023 à Tiény-Séably, localité située sur l’axe Man Facobly. Pour cette édition, ces sont 100 enfants qui ont été visités par le père Noël avec beaucoup de cadeaux. Cette année, le commissariat général du festival, en […]]]>

Abidjan le 27 décembre 2023 – La 6e édition du festival culturel annuel « Badjouhonan » s’est ténue le 22 décembre 2023 à Tiény-Séably, localité située sur l’axe Man Facobly.
Pour cette édition, ces sont 100 enfants qui ont été visités par le père Noël avec beaucoup de cadeaux.
Cette année, le commissariat général du festival, en partenariat avec l’ONG Gnionty, a donné de la joie aux personnes vulnérables notamment les tout-petits, les veuves, les nourrices et le centre de santé de tiény-Séably. Elle a fait don de jouets, complets de pagnes, vivre et matériel d’assainissement.
A travers cette action les organisateurs entendent redonner du sourire aux bénéficiaires. « Les personnes vulnérables ont besoin de soutien surtout en ces périodes de fête de fin d’année. Car une personne qui n’est pas heureuse ou n’a pas les moyens, ne peut festoyer. Elle ne peut que se sentir marginaliser. Or Badjouhonan est un espace de retrouvailles et de réjouissance autour de notre patrimoine culturel. Il prend en compte toutes les couches sociales », a relevé Mesmer Pahiet, initiateur du festival Badjouhonan.
Pour Elise Gauze, présidente de l’ONG Gnionty, les enfants étant la relève du futur, il faut les prendre en compte dans toutes les actions sociales. Et donc, il importe de leur apporter de la joie. « C’est un réel plaisir et une satisfaction totale pour nous de voir le bonheur que notre action procure à la centaine d’enfants ainsi qu’aux autres bénéficiaires », a-t-elle indiqué.
Les enfants âgés de deux à sept ans ont exprimé leur gratitude aux donateurs qui ont promis récompenser prochainement, l’excellence scolaire. « Nous sommes très contents. Grâce à ces dons nous avons eu aussi des cadeaux et allons pouvoirs fêter comme nos amis. Merci à Badjouhonan », s’est declaré Moussa Fall, au nom de ses camarades.
Upl.ci

]]>
Interview exclusive – 6ème édition du festival culturel Badjouhonan / Narcisse Tehoué commissaire général : « venez découvrir le peuple wê dans toute sa diversité sociologique ,culturelle » https://artici.info/https-artici-info-interview-exclusive-6eme-edition-du-festival-culturel-badjouhonan-narcisse-tehoue-commissaire-general-venez-decouvrir-le-peuple-we-dans-toute-sa-diversite-sociologique-culturelle/ Wed, 20 Dec 2023 09:19:43 +0000 https://artici.info/?p=541   A l’instar du Pôpô Carnaval de Bonoua, de l’Abissa de Grand Bassam et le Pâquinou des Baoulé, le festival culturel Badjouhonan se définie comme un moment de retrouvailles et de promotion des peuples Wê. En tout cas c’est le rêve que caresse L’association Awéakin qui ambitionne par ailleurs de laisser Badjouhonan comme héritage aux […]]]>

 

A l’instar du Pôpô Carnaval de Bonoua, de l’Abissa de Grand Bassam et le Pâquinou des Baoulé, le festival culturel Badjouhonan se définie comme un moment de retrouvailles et de promotion des peuples Wê. En tout cas c’est le rêve que caresse L’association Awéakin qui ambitionne par ailleurs de laisser Badjouhonan comme héritage aux peuples wê. Nous dit M. Narcisse Tehoué commissaire général du festival culturel Badjouhonan qui se déroule du 22 au 31 décembre 2023 dont c’est la 6ème édition. Entretien …

Le vocable BADJOUHONAN a-t-il une signification particulière ?

Un mot issu du Wê et qui signifie l’endroit où on se lie d’amitié, où l’on se rencontre et où l’on se (re)découvre. Et cette découverte est sous deux angles. D’abord nous les Wê, on se découvre et les autres peuples viennent également découvrir le wê dans toute sa diversité ( sociologique ,culturelle etc.)

Quels sont vos ambitions en initiant ce festival?

L’association Awéakin ambitionne de laisser Badjouhonan comme héritage aux peuples wê. C’est en cela que nous en faisons un projet intégré. Car en dehors du festif, il y a la promotion de la culture Wê avec ses dérivés. Notamment l’aspect social, économique.

Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur ces aspects socioéconomique ?

En effet, nous avons entrepris beaucoup d’activités. Notamment un arbre de Noël, des dons aux femmes et le reprofilage des voies de certaines localités.

Sur le plan économique il y a l’implémentation de deux projets pour lesquels nous sommes en ce moment en quête de financements et récemment nous avons permis à des femmes de bénéficier d’un prêt sans intérêt de 10millions.

Avec la Can Badjouhonan va-t-il jouer sa participation en incorporant l’aspect sportif?

Le ministère du tourisme en collaboration avec la faîtière des acteurs de loisir a prévu une animation pour la période de la Can. Donc oui, nous allons jouer notre partition et les choses se précisent au niveau de la faîtière.

Il faut dire que l’aspect sportif est déjà inclus dans le festival avec les jeux et sports patrimoniaux que nous organisons sauf qu’ils sont incorporés au culturel.

Quel est donc cet héritage que vous voulez laisser à la postérité ?

Le constat que nous avons fait en son temps est qu’à partir de 2002, le peuple Wê s’est disséminés partout. Ce qui a eu des conséquences sur notre culture. Parce que lors des troubles sociopolitique l’ouest du pays a payé un lourd tribut avec entre autres la perte de la majorité des personnes du 3e âge dépositaire pour la plupart de notre culture. Or, selon la mémoire collective, en Afrique un vieillard qui meurt c’est une bibliothèque qui brûle.

Dès cet instant, il était impératif de faire quelque chose pour permettre à la population Wê de se réapproprier sa culture afin de la pérenniser. Or, nous savons qu’il n’y a de culture que s’ il y a des hommes pour la faire vivre donc il nous incombe à nous les Wê de faire revivre notre culture en la revalorisant. Surtout que la culture Wê est l’une des cultures mère de toutes les cultures donc pourquoi laisser mourir la culture mère?

BADJOUHONAN et le Tonkpi Nihidalé se déroule dans le même district des montagnes. Qu’est ce qui vous différencie ?

 

Le Festival Culturel Wê Badjouhonan se déroule dans le Guémon tandis que le Tonkpi Nihidalé se déroule dans le Tonkpi. Bien que nous partageons une partie de la culture à cause du voisinage, il y a une différence majeur au niveau de la date et du contenu.

Est -ce que cela ne va pas poser un problème de concurrence au niveau des deux festivals ?

Non il ni y a ni concurrence ni chevauchement parce que la culture Wê est différente de la culture Dan. De plus, les dates sont établies de sorte que les localités soient animées. A tel enseigne que les festivaliers après le Tonkpi Nihidalé se rendent à Badjouhonan la semaine suivante.

Aujourd’hu , à la 6e édition quel est le bilan que vous faites ?

Au- delà de la satisfaction personnelle, il y a la satisfaction générale. Nous constatons qu’il y a un renouveau. Notamment avec la multiplication des festivals dans la région, les cadres construisent leurs résidences,

Les retours sont également encourageants parce que les commerçants font de bonnes affaires.

Cependant , nous avons beaucoup de difficultés. Entre autres le manque d’appui et d’accompagnement de la tutelle, le manque de partenaire. Également les autorités de la région peinent à s’impliquer véritablement. Or s’ils s’y mettent, BADJOUHONAN serait propulsé depuis.

Mais nous pensons en même temps qu’il est de notre devoir de prouver à la population que notre cause est noble, apolitique Chose que nous nous attelons à faire depuis 6ans.

D’ailleurs le comité d’organisation de Badjouhonan est ouvert à toute personne qui pense pouvoir apporter son expertise.

Étant donné que vous n’avez ni aide ni soutien comment faites-vous depuis toutes ces années pour l’organisation ?

C’est la grâce de Dieu. Nous ne sommes pas totalement orphelins. Même si nous ne bénéficions pas d’accompagnement ministériel, il faut dire qu’au fil des années nous avons eu le soutien financier de quelques cadres de la région et l’implication de toutes les composantes de la couche socio-professionnelle de Tiény-Séably (la mutuelle, la jeunesse, les femmes et les hommes) au niveau de l’organisation en terme de mobilisation. Hormis cela, l’association Awéakin organise le festival par la volonté des organisateurs et de bénévoles.

Pourquoi à Tiény-Séably, une localité modeste et non la capitale régionale ?

Le choix n’est pas hasardeux. Tiény-Séably est une localité centrale majeure dans la région. Son choix répond à plusieurs option :

Au plan historique c’était le centre économique

Au plan Politique c’était une localité ou les colons se sont installés et c’est le chef- lieu de sous préfecture et du canton Péomé.

Au plan géographique, le village est situé à équidistance de Man, Facobly et Kouibly. De plus, il est facilement accessible

Est ce que la taille de la localité ne pose pas un problème de logement et de sécurité ?

Pas du tout. Vu que toutes les dispositions sont prises pour la sécurité des biens et des personnes grâce à la présence des éléments de la légion de gendarmerie de Man et ceux de la brigade mobile de Facobly. Le festival a en son sein également des jeunes bénévoles qui ont été formés à la sécurité.

En ce qui concerne les logements, les cadres et les ressortissants de Tiény-Séably se proposent spontanément d’ héberger les festivaliers. Pour ceux qui le désirent ils peuvent loger En dehors des hôtels de Tiény-Séably, le festivalier a la possibilité de loger dans les départements sus-cités qui abritent des réceptifs hôteliers à 30 mn ( Kouibly), 8mn (Facobly) et 9mn( Man).

Comment ont été accueillies la célébration de la noël et les activités sanitaires de l’année dernière?

Ce n’est pas la première fois que l’association Awéakin le fait. A la différence que cette fois-ci nous l’avons incorporé au festival.

Ces innovations majeurs ont été bien accueillies et nous comptons reconduire ces activités.

L’année dernière vous avez invité le peuple gouro et cette année le peuple Mahou. Quels sont vos critères de sélection ?

Le roi ne peut pas être heureux sans son esclave (rire) donc pour nous c’était tout à fait normal qu’ils soient à l’honneur.

Également cette année nous avons opté pour les Mahou avec qui nous avons un lien séculaire et qui a une richesse culturelle inouïe.

Vous avez mentionné le nom d’une association pouvez-vous nous en dire plus?

L’association Awéakin est l’initiatrice du festival Badjouhonan. Elle est née par la volonté d’hommes et femmes issus de la Côte d’Ivoire et appartenant à toutes les couches socio -professionnelles. Elle œuvre pour le bien-être de la population de la région à travers le tracé et le reprofilage des voies, l’assistance et dons aux personnes vulnérables.

Pourquoi la période du 22 au 31 décembre pour le festival ?

Au plan culturel, Badjouhonan entend devenir, à l’instar de la pakinou des baoulé, le pôpô carnaval de Bonoua , un moment de retrouvailles des Wê. Or à cette date, les parents-paysans ont finis la récolte du riz, vendu le cacao et se reposent. Et à cette date qui est la période de l’harmattan, il n’y a pas de risque de pluie.

Quelles sont les innovations de cette année ?

Cette année il y aura plusieurs activités nouvelles. Notamment la compétition de pétanque, l’art culinaire Wê avec les matriarches coachs pour la transmission des valeurs culturelles, les soirées traditionnelles des femmes.

Votre mot de fin

C’est un cri du cœur que je lance. Nous tenons à vous mettre en mission de manière fraternelle afin que les institutions étatiques nous accompagnent. Les entreprises commerciales et les institutions nous accompagnent parce que Badjouhonan ait une lucarne qui va leur donner également de la visibilité car nous sommes aujourd’hui un festival majeur dans la région et au-delà. En témoigne les touristes français et espagnol que nous avons reçu l’année dernière.

Réalisée par Nando Dapa et Angeline DJÉRABÉ pour upl.ci

 

]]>